Evaluer cet article Celui qui aime se met, par cela même… dans la dépendance de celui qui est aimé. Extrait de Pensées, p.49, Gallimard, 1934 Charles Péguy A Lire AussiLe cosmosSi la jeunesse n’a pas toujoursGros cœur ne mange pas du riz chaud.Le blé, qui est doré, me feraA mi-février, bon merle doit nicher.Une femme qui se croit intelligenteA la suite de quoi ma mère s’enfermaitQuand un vieil homme épouseLes cilsEn février toute oie de PARTAGER