Evaluer cet article Ce bon campagnard, amateur de vin, de la bonne cère et de fraîches paysannes… Vie de Henry Brulard 1835- 1836. Stendhal A Lire AussiLa plus grande révélationSaint TupetuConsolation à Idalie sur la mort d’un parentLe vin fait surnager les secrets.Je me suis toujours demandé si lesL’important dans la vie ceCe ne serait pas la peine d’avoirL’inspirationNul avril sans épis.On s’irrite moins en fonction de l’offense PARTAGER