Evaluer cet article Barrès Très soucieux de sa personne et toujours admirablement vêtu, avec tout à la fois une grande élégance et une sorte de négligence apprêtée. Feuillets d’automne écrit en 1949 pandré. André Gide A Lire AussiL’amour excuse tout dans unLa meilleure des choses àNous sommes ici-bas pourLa jeunesse a une belle faceUne personne humble, qui estSi le bonheur résidait dans lesDe juillet, la chaleur fait de septembre laSi les peines détruisent le bonheur, les plaisirsJ’aime la boisson mais pas l’ivresse.Il n’y a rien de si puissant qu’une république où l’on observe PARTAGER