Evaluer cet article Au pays des cyclopes, les borgnes sont aveugles. Extrait de Le succulent du chat Philippe Geluck A Lire AussiEn fin juin, vent du soir est bon pour Avant de bien connaître unLe progrès n’a que l’âme deMieux vaut compter surComme c’est difficileLe bonheur n’est pas le fruit deLe danger de la doctrine duLes poussins du mois d’avril sont toujours rabougris. Le feu qui te brûlera, c’estHache PARTAGER