Evaluer cet article Au bout de mon âge qu’aurais-je trouvé, vivre est un village où j’ai mal rêvé. Paroles d’Au bout de mon âge – 1965. Jean Ferrat A Lire AussiLa prière, croyez-moi, n’est souventJe demeure stupide.Je vais m’envoyer une lettre deLe passé, pour peu qu’on yCe qui sauve, c’est de faireNon seulement Jésus-Christ étaitÊtre philosophe ne consiste pas Celui pour qui aucune différence existe entre un homme et Mes yeux, …La lecture suffit pour arrêter l’intelligence, la nourrir, PARTAGER