Evaluer cet article Ah ! quel âpre tourment ! quels douloureux abois ! Médée. Pierre Corneille A Lire AussiBeauté, dans ce vallon…Si le soleil se lève à l’aubeLa chaleur pétillait sur les tuilesDelors ?… il hésiterait mêmeL’expérience prouve queDom Juan – ACTE IV, Scène VIComment est -ce que les hommes définissent le mariage ?Une méthode trèsLes grains de sable de mes doutes s’agglomérèrent et La flatterie n’a tant de charmes que parce qu’elleOn est toujours plus vieux que sa femme, surtout lorsqu’on a épousé PARTAGER