L’école. Des murs blancs, des gradins noirs, et puis

Dans  Poésie François Coppée,  Promenades et Intérieurs
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L’école. Des murs blancs, des gradins noirs, et puis

Un christ en bois orné de deux rameaux de buis.
La sœur de charité, rose sous sa cornette,
Fait la classe, tenant sous son regard honnête



Vingt fillettes du peuple en simple bonnet rond.
La bonne sœur ! Jamais on ne lit sur son front
L’ennui de répéter les choses cent fois dites !
Et, sur les premiers bancs, où sont les plus petites,
Elle ne veut pas voir tous les yeux épier
Un hanneton captif marchant sur du papier.



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