Evaluer cet article Quand on peut voir si nettement les défauts des autres c’est qu’on les a. Journal 26 octobre 1908. Jules Renard A Lire AussiMourir gras, mourir maigreFaire une erreur et ne pasQuand vous voyez un hommeComme les deux faces d’unMieux vaut laMieux vaut passer la nuitIl est plus sûr que le viceL’homme bon jouit partout duQuand Noël tombe un mardi, mauvaisLe cinéma est fait pour tous ceux dont la curiosité est le plus PARTAGER