Evaluer cet article Ce bon campagnard, amateur de vin, de la bonne cère et de fraîches paysannes… Vie de Henry Brulard 1835- 1836. Stendhal A Lire AussiChapitre XXIIIL’héroïsme n’exige aucune maturité d’esprit.Ecoutez-moi, MonsieurDenize düsen yilana sarilirIl n’est point d’avril si beau, qui n’ait On aime ressentir l’influence bienfaisante d’un enfant, se mettre à son école,Puisque je n’ai pas lesLe téléphoniste plantait sesChez la plupart des gens qui bossent, on sent une somnolence de fonctionnaire.Je ne sais pas si une femme peut aimer un être heureux PARTAGER