Evaluer cet article La main qui me tue Rend sous mes déplaisirs ma constance abattue. Cinna, ou La clémence d’Auguste. Pierre Corneille A Lire AussiAvec la voix de Jacques ChiracPour l’amour d’une roseQui dit la véritéChacun s’efforce de devenirSoleil rouge le matin, –La perfection est atteinte,La trop grande jeunesse estDeux blondes sont dans un musée, elles voientSaint-Druon pluvieux, an fromenteux.Chère beauté … PARTAGER