Evaluer cet article Je perdrai qui me perd, ne pouvant me sauver. La mort de Pompée. Pierre Corneille A Lire AussiIl n’y a pas de vrai bonheur dans l’égoïsmeNous savons maintenant ce que c’est que la nuitObsessionAu manoir de KeranglazBobosseChose paradoxale, c’est avecLes poules ne frayent pas avec les cafards.Un bateau n’est pas plus grand ou plus petit, selon qu’il se trouve En février, la feuille au groseillier.Il bon d’être serviable, mais il faut bien montrer que PARTAGER