Evaluer cet article Je le revois si bien ! un peu dégingandé, comme un enfant grandi trop vite, flexible, délicat. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiUn grand sommeil noirJuinTiberi face à Seguin, c’est leComte, sois de mon prince àBien plutôtJusqu’à trente ansFaire une loi et ne pas laÀ la saint-Samson, le soleil est aux chansons.La Toussaint venue, laisse là ta charrue.Tout a été dit. Sans doute. Si les mots n’avaient changé de sens; et PARTAGER