Evaluer cet article C’est comme si s’ouvrait en moi le soupirail de l’abîme, comme si se débondait en moi tout l’enfer. Journal 1889-1939, 25 mars 1927. André Gide A Lire AussiLe désespoir est assis sur un bancIl n’y a pas de guerre sans morts.Trois anges sont venus ce soirQui nourrit les autresLa conscience n’est dans leVictor Hugo, histoire et biographie de HugoJ’ai besoin du bonheur de tousAgir c’est combattre.Les hommes ont d’étrangesLa vie est comme faire du vélo PARTAGER