Evaluer cet article Je croyais que la route passait par l’homme, et que de là devait déboucher le destin. Une citation de Pablo Neruda A Lire AussiOn est plus pressé de vendre son pain que deIl y a deux sortes de femmesLa jeunesse est une belle chose, une force puissante – aussi longtemps qu’onLa solitude ! L’orgueil, oui. L’orgueil de se suffire à soi-même,Pour être ridée, une bonne pomme ne perd pasDans un couple, peut-être queContempler sa bibliothèque,Selon les astronomes modernes,Mieux vaut une bonne voisine qu’une soeur éloignée. Terpsichore PARTAGER