Evaluer cet article Je croyais que la route passait par l’homme, et que de là devait déboucher le destin. Une citation de Pablo Neruda A Lire AussiA propos d’HoracePetits amisQu’importe la surdité de l’oreilleIl n’importe guère qu’unLa réunion des retours dans unSi sbaglia u préte à l’altareTelles ont été les erreurs etL Aiguille creuse Chapitre 4 Face à faceDemain ne sera pas hier.Chacun de nous se promène avec bienveillance dans cette galerie de PARTAGER