Evaluer cet article Nous marchions à pas légers, muets, pour n’effaroucher aucun dieu, ni le gibier, écureuils, lapins, chevreuils, qui folâtre et s’ébroue. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire Aussi115La fête à l Hôtel de VilleLe Lion et le ChasseurCygnes blancs striés de bleuIl entama ensuite deLes meilleurs amis sontUne perche quiFaites sourire sur la terre, surQuand la vache perd sa queue, Dieu balaieLa Wallonie PARTAGER