Evaluer cet article Leur splendeur venait de ceci que j’ardais sans cesse pour elles. Les Nourritures terrestres écrit en 1897. André Gide A Lire AussiL’amour seul connaît le secretIl vaut mieux gâcher sa jeunesseAprès une catastrophe, une centaine de couples se retrouvent au ciel devant St -Pierre. IlLes femmes légères sontQuand ton moral est basA la Saint-Ernest, AbatsIls appelaient ça la zoneDans tout fanfaronLa bourse d’un mendiant n’est jamais pleine.La patience est un arbre dont la racine est amère, PARTAGER