Evaluer cet article Je veux bien que, l’existence une fois admise, celle de la terre et de l’homme et de moi paraisse naturelle, mais ce qui confond mon intelligence, c’est la stupeur de m’en apercevoir. Les Nourritures terrestres écrit en 1897. André Gide A Lire AussiDebout sur la jetéeS’il y a un plat universelUn véritable roi n’est niCe sont les petitesBonne épouse etLe savoir que l’on neEn dehors de l’enfance et deMon amour, je t’ai préparé ton aspirine” dit un homme à saOn dit toujours : les actrices américaines, elles font tout, elles dansent, elles chantent,6 outils pour renforcer la sécurité en ligne tout en explorant différentes cultures PARTAGER