Evaluer cet article A force d’oublier, on se sépare de soi, c’est une mutilation ; il ne nous reste plus alors que notre pauvre petit présent… Une citation de Jean-Claude Clari A Lire AussiEn réponse à la question d’unLors d’une tempête, on peut trouver la tranquillité au coeurJe fais de mon mieux pour êtreQue préfères-tuVieux coton ne fait pasLe sommeil n’est plus unJe ne sais pourquoiLe riche désarmé est la récompense du pauvre.Ce jour de Mai qui a la tête peinteL’avenir appartient à ceux qui ont le veto PARTAGER