Evaluer cet article Mais Aragon traite la littérature de machine à crétiniser, les littérateurs de crabes. Une citation de Jean Paulhan A Lire AussiAjouter des paroles à l’un de mes filmsIl est beau de périr pourJ’appelle rêveries Ce qu’enLa nature humaine changeQuand on ne peut revenir enL’homme regarde à la face deLa mégalomanie est la maladieIl peut y avoir de la honte àÊtre pauvre n’est pas un péché mieux vaut cependantRends grâce pour un bienfait, un autre suivra. PARTAGER