Evaluer cet article Le monde change merveilleusement mais la femme est toujours l’esclave de l’homme, d’une manière ou d’une autre. Une citation de Roger Fournier A Lire AussiChapitre XLIVTant qu’il y a de l’espoir, il y a deLes Princes de ChypreQuand l’un des deux s’en va,Non inégal au grand nombre.L’imagination est la meilleure compagnie de transport au On ne se repent guère du silence,et on se repent maintes fois Rien n’est plus drôle que leQuand la grive chante au genévrier, on n’est pas Un grand économiste, c’est PARTAGER