Promenades et Intérieurs

N’êtes-vous pas jaloux en voyant attablés, Dans un gai cabaret entre deux champs de blés, Les soirs d’été, des gens du peuple sous la treille ? Moi, devant ces amants se parlant à l’oreille Et que ne gêne pas le père, tout entier

Prisonnier d’un bureau, je connais le plaisir De goûter, tous les soirs, un moment de loisir. Je rentre lentement chez moi, je me délasse Aux cris des écoliers qui sortent de la classe ; Je traverse un jardin, où j’écoute, en marchant,

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