Poésie François Coppée

Promenades et Intérieurs

J’écris près de la lampe. Il fait bon. Rien ne bouge. Toute petite, en noir, dans le grand fauteuil rouge, Tranquille auprès du feu, ma vieille mère est là ; Elle songe sans doute au mal qui m’exila Loin d’elle, l’autre hiver, mais sans trop d’épouvante,  

N’êtes-vous pas jaloux en voyant attablés, Dans un gai cabaret entre deux champs de blés, Les soirs d’été, des gens du peuple sous la treille ? Moi, devant ces amants se parlant à l’oreille Et que ne gêne pas le père, tout entier

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