Quand j’ai le cœur à la dérive
Des rives aux routes tout en déroute
Ma vie se plisse et se déboute
Elle se parsème, remplit de doutes

Quand j’ai le cœur à la dérive
Il se dérobe à l’impudence
Devient méfiance et arrogance
Trahit en transe par l’insolence

Quand j’ai le cœur à la dérive
Il boit la lie, devient impie
Relents de la médiocratie
Je vis ma vie comme un soucis

Quand j’ai le cœur à la dérive
Genoux, je nous suis jusqu’à terre
J’embrasse le fou qui me fait taire
Tranche son cou au cimeterre

Quand j’ai le cœur à la dérive
Amour toujours devient trop lourd
Je manque au jour quand il se teint
En nuit brulante sur nos corps gours

Quand j’ai le cœur à la dérive
J’ai la très mauvaise habitude
D’écrire des conneries maladives
Comme celles que vous lisez ici…

Quand j’ai le cœur à la dérive
Des rives aux routes tout en déroute
Ma vie se plisse et se déboute
Elle se parsème, remplit de doutes

Quand j’ai le cœur à la dérive
Il se dérobe à l’impudence
Devient méfiance et arrogance
Trahit en transe par l’insolence

Quand j’ai le cœur à la dérive
Il boit la lie, devient impie
Relents de la médiocratie
Je vis ma vie comme un soucis

Quand j’ai le cœur à la dérive
Genoux, je nous suis jusqu’à terre
J’embrasse le fou qui me fait taire
Tranche son cou au cimeterre

Quand j’ai le cœur à la dérive
Amour toujours devient trop lourd
Je manque au jour quand il se teint
En nuit brulante sur nos corps gours

Quand j’ai le cœur à la dérive
J’ai la très mauvaise habitude
D’écrire des conneries maladives
Comme celles que vous lisez ici…