Poésies contemporaines

Vos poémes

L’orage porte en lui une plainte endeuillée
Et quelle symphonie à mon oreille chante
Tout périt tu le sais et malgré l’épouvante
Qui balaye toujours les esprits effrayés
Nous vivrons Nous vivrons non pour l’Humanité
Cette noire pâleur au milieu de l’été
Mais pour le monde entier pour ta sœur et ton frère
Pour calmer la fureur pour froisser la misère
Et voir croître le feu fragile et précieux
De la libre pensée au regard pluvieux
Oh mon monde arabe à moi
Si grandiose dans le passé
Aujourd’hui cassé et abaissé
Je prie Dieu et garde foi
Oh peuple  prestigieux
Un jour meilleur viendra
Et par toi vaincra
Pour un monde plus radieux

loveisall

En cette nuit étoilée, J’ai vu le sang couler, D’innocentes vies volées, Mais nous allons encore nous relever ! Tous ensembles pour lutter Et jamais vous ne nous aurez ! Vive la liberté ! Et vive la France !
Je me suis toujours demandée Ce que l'amour pouvait représenter J'ai vu en toi, moi Et en toi moi, toi Es tu cette étincelle Qui m'est parvenue du ciel? Mon unique point de repère Si intense et éphémère Viens vers moi m'enlacer Jamais je ne pourrais te remplacer

Palais de la Tendresse Les rosées tendres des herbes de l’ultime rayonnement nocturne affolent les lucioles des caresses Embrasé Le palais de la tendresse ajoure les lueurs de son cœur invitant les yeux de la peau à vaciller sous les courbures des baisers Dans cette forteresse où s’étirent les fils hérissés les fleurettes gravent sur…

Le temps.

Longs mois, longs jours, longues heures.
On court tous après le bonheur.
Il s’attrape, se tape et se capte.
Il se déchire, ou pire, se transpire.
Attendre, apprendre, tout ce qui bande.
Passé, reculer, futur, la nature.
Danger écarté, suspension qui effraie.
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Poète sans vigueur, carcasse de paresse, Pauvre Plume aux Enfers descendue hardiment ; Voilà qu’à ce Banquet je te vois en détresse, Au milieu de la cour, marcher pudiquement.   Sans appeler, sais-tu ! Je comprends ton silence, Pauvre enfant désolé qui croit grandir d’un coup. Se taire est un aveu d’une forte souffrance ; Alors, je crie…

Au premières lueurs du jour Mon coeur me prévint Marchant dans cette cour Au petit matin D’un air assuré elle marchait Comme si rien ne la retenait Le regard droit et les cheveux battants Guidés au souffle du vent Je l’observai durant des semaines Epris d’un besoin préssant de la rencontrer N’osant cependant m’y aventurer…

Là, les vents courant sur l’azur immaculé Semblaient perdre l’enfant dans la voûte étoilée, Et venant, caressant mille fois son esprit, D’une fine tristesse, l’amant était détruit. Puis, mourant, s’en retournant à son désespoir, Dans un profond ennui, vit arriver le soir Lorsque bientôt, les ténèbres cernant la terre, D’un geste las, parti, le regard…

Parce qu’il est un monde Où à chacun Tout ne sourit Parce qu’il est un monde Où à chacun Tout ne réussit…   Souvent l’orage gronde, Cruel chemin, La force ennemie… Mon âme vagabonde, Rêvant demain, Subir ces temps-çi…   Quand la foudre me sonde, Éclair malsain, Douleur infinie… Mon corps surabonde, Visant plus loin,…

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