Articles by Rabab


Comme par simple coïncidence,hier j’ai rencontré,
L’ombre de l’amour , recherché par mon cœur.
Au passé tranchant et douloureux, j’ai hésité,
Entre plusieurs personnes noyé dans un éternel bonheur.
Mais hier,je l’ai connu.
Que pourrai-je dire de lui ?…
Ses yeux semblables à ceux d’un dieu, me hante l’esprit…
Son allure me plait car je crains de l’avoir déjà vu.

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Ferme les yeux et laisse ton instinct parler,
Cette phrase tu me l’as dit,
Quand nous étions aux frontières de la vie,
Sans l’extrême pitié de me voir pleurer,tu m’as quitté.
Mais tout ça est totalement passé.

Je voudrais dire à mes chers lecteurs:
“Arrivez-vous à me comprendre ?
A comprendre mes soucis qui s’étendent à l’infini ?
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A la première lueur de l'aube ensorcelant, J'ai décidé de donner la raison, A laquelle je consacrai une partie de ma vie A la poésie.C'était si simple et logique. Beaucoup de personnes utilisaient plusieurs manières, De vider leurs esprits,  

Je voudrais être un simple oiseau, Pour qu'aucune des limites ou même un mot, Ne me séparent d'un monde fabuleux, Et pour s'élever dans un ciel infini,

P rotégé par la magie de sa fée, E t menacé par son ennemi le capitaine Crochet, T rouvant son amour près de Wendy, E n lui racontant qu'il s'est enfui de la maison, R edoutant de devenir adolescent,

C'est un garçon très agaçant, Mais je ne puis dire son nom,

Deux enfants jouaient,l'esprit tranquille et joyeux, Puis s'amusaient, je les regardais avec  douceur, Les larmes aux yeux, Rêvant de redevenire à nouveau une enfant et assister à leur bonheur. Mais je suis là en train de pleurer,               

Avec l'envie de vivre, Ce souvenir, Que j'adore et je voudrais toujours l'avoir. Mais avec la pensée si triste, De ne jamais l'avoir vécu, Tout cela redevient si identique.

Le jour où tout le monde est heureux, Où nous retrouvons aucun souvenir triste, Où le bonheur s'échappe et vient vers nous, Ce jour-ci tu le trouves si merveilleux: Des cadeaux étalés ici et là,

Un vent triste a soufflé,sur le parc désertique, Nous étions assis,le coeur prêt à crever, Tu vas me quitter et je te prie de ne pas m'oublier. Je ne pouvais croire qu'il y eût un chagrin identique.

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