Mené en bateau. Dure sont les vagues sur les océans Que coupe la proue ces lames céans. Le marin sur le mât côtoie ces géants Ces poètes des mers animer le néant. Ainsi le ciel et les flots se mélangent En lieds de goélands qui s’arrangent
En écoutant Rameau m'est venu cette pensée… Issues d’Espagne ou même de France Né d’Allemagne ou du Royaume-Uni Elles sont fêtes engendrées d’élégance A exhiber en un deux cœurs prémunis
Petite fantaisie chantée. La mélodie du bois dormant. Nous partirons mais dès l’aube Par un beau matin d’été
Si ces fervents par dizaine, ma mort les rassure Mon entrée dans l’arène aura bien fière allure Ils pourront s’époumoner en ayant la dent dure Ma fierté il me reste, de trépasser le cœur pur