Evaluer cet article La vision que l’on a de soi est toujours approximative : même si l’on a plus ou moins apprivoisé son physique, même si l’on veut bien se reconnaître quelques défauts et quelques qualités. Le Ruisseau des singes (2000) de Jean-Claude Brialy A Lire AussiLes affaires de désir ontL’ingratitude est un gain deEt, rêvant déjà de batailleQuand on croitQuand le coucou chante après la saint-Jean, le blé La meilleure séductionSe taire est dans le camp de la réflexion, c’est savoirQue d’hommes ne se connaissentIl est de la nature de l’évidence qu’elle passe Il faut savoir s’embêter PARTAGER