Comprends moi
Croc du premier fruit
Chaleur montante
D’un inoubliable bruit
Celui d’une suite
Un désir que rien ne lasse
Malgré les années qui passent
Les yeux en extase
Sans besoin de phrases
Surtout pas de censure
Ni d’usure
Que jaillissent dans l’azur
Des plaisirs, des murmures
Des tendresses qui durent
Que rien même pas le temps
Vienne effacer ces tendres instants
Pour que demeure l’envie
De poursuivre avec lui.
lydia giganon