A l’envers

Dans  Poésie Jacques Herman
Evaluer cet article

C'était un joyeux luron

Que le dernier larron

Qui demanda

Qu'on le pendît

La tête en bas

 

Très bas

Si bas

Qu'elle fût

A la portée

De la langue râpeuse

Des chats

 

On accéda

Très volontiers

A sa demande

Mais les chats sont méfiants

Ils filèrent à travers champs

Et ne revinrent qu'après

Que le bonhomme fût dépendu

Et son corps enterré

Dans la fosse commune

De la petite cité

 

 

 

 

© Jacques Herman – 2007



A l’envers

Dans  Poésie Jacques Herman
Evaluer cet article

C'était un joyeux luron

Que le dernier larron

Qui demanda

Qu'on le pendît

La tête en bas

 

Très bas

Si bas

Qu'elle fût

A la portée

De la langue râpeuse

Des chats

 

On accéda

Très volontiers

A sa demande

Mais les chats sont méfiants

Ils filèrent à travers champs

Et ne revinrent qu'après

Que le bonhomme fût dépendu

Et son corps enterré

Dans la fosse commune

De la petite cité

 

 

 

 

© Jacques Herman – 2007



Réalisation : www.redigeons.com - https://www.webmarketing-seo.fr/