Evaluer cet article Je ne sais si on se corrige de ses défauts mais on se dégoûte de ses qualités surtout si on les retrouve chez les autres. Journal 10 mars 1906. Jules Renard A Lire AussiDedans des Prez je vis une DryadeIl faut que le poèteL’homme qui veut demeurer fidèleL’odeur de la morueLa Foi soulève des montagnes; oui: desL’envie et la colèreIl faut battre le fer quandIl sortait de la nuit comme unParmi les hommes, le plus faible est celui qui ne sait Tout joyeux un homme finit de se raser dans la salle de PARTAGER