Evaluer cet article Le vent ce taureau épars. Journal. Jules Renard A Lire AussiUne jolie femme n’attend qu’une choseIl faut avoir une convictionTrop tendue, laLes femmes mentent pourEn moissonnant se passe l’août.Des neiges et un bon hiver, mettent bien du bien La poésie est la tendresse espiègle des jeux deSi on abaisse ton front, lève-le fier ; s’il est hautain, baisse-le parAinsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, dans la nuit éternelle emportésToutes les grandes lectures sont une date dans l’existence. PARTAGER