Evaluer cet article Ainsi les malheurs des autres nous sont indifférents à moins qu’ils ne nous fassent plaisir. Journal 7 décembre 1894. Jules Renard A Lire AussiQuand ses amis sont borgnes, il les regarde de profil :S’il pleut à la saint Aubin, l’eau seraBalladur a posé sa candidature pourQu’est-ce que c’est les préliminaires pour une blondeL’épaule ne sera jamais plus haute que la Jimmy Hendrix, histoire et biographie de HendrixQuand j’entends discourir desEssayons d’être heureux, neLa maîtresse: – Toto ! récite-moi ta poésie que tuMéprise la vie pour en jouir. PARTAGER