Evaluer cet article Mon coeur, si doux à prendre entre tes mains, Ouvre-le, ce n'est rien Qu'un peu de cendre. A Lire AussiO ma mère et ma nourrice !Comte, qui ne fis onc comptePour qu’il y ait passion, ilFrère, il y a dans presqueLa guerre est l’industrieS’il va dehors,Chapitre XXXVIIIHorace ACTE V Scène IFaute de riz, on mange de la bouillie. Quand on sème à la Saint-Bruno, la rouille s’y mettra PARTAGER