Evaluer cet article Pauvre amant, je te plains qui ne sais pas encore Que bien qu’une beauté mérite qu’on l’adore, Pour en perdre le goût, on n’a qu’à l’épouser. Mélite. Pierre Corneille A Lire AussiQui sème à la saint-Laurent y perd sa Je trouvais d’autant plus affreuxQuel est le plus heureux desLe Dernier templeLe rêve est une desTexte pour mon amour : restes ma chérieOn n’achète pas lesSi tu veux mettre le sort de ton coté, Dès que tu as prononcé un mot, ce mot règne C’est un excès de confiance dans PARTAGER