Evaluer cet article J’étais extrêmement sensible à l’habit, et souffrais beaucoup d’être toujours hideusement fagoté. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiEncore que l’on eût heureusement comprisLes moralistes n’y peuventCroire et ne pasL’amour des richesses estEau de Saint-Jean – Peu deLes gens ont toujours peur de laIl est triste d’aimer sans uneMeilleurs Voeux 2012Quand le fou fait preuve de sagesse le sage cache saUn arbre est une alliance entre le proche PARTAGER