Evaluer cet article L’homme ne trouve point sa fin en lui-même mais se subordonne et sacrifie à je ne sais quoi, qui le domine et vit de lui. Préface à Vol de nuit d’Antoine de Saint-Exupéry. André Gide A Lire AussiLa menace du plus fortLe critique est celui qui peut transposer d’une autre manièreQuoi d’imprévuIl y a toujours un fameux singeNous voila fixésAgneau à Pâques, cabri à laEtre clair ? Nous sommes siL’important c’est d’aimer,Cette fin de siècle du cinéma, voit l’avènement des films Un dogme, ce n’est pas l’absence de réflexion, mais sa PARTAGER