Evaluer cet article Abruti, vieilli, sentant ma pensée à son étiage. Journal 1939-1949 Souvenirs, 6 mai 1943. André Gide A Lire AussiCueillons les douceurs, nous n’avons à nous queTous les matins un agent est de service très On est ce qu’on veut.A Noël les moucherons, à Pâques les glaçons. Rien n’est plus nécessaireQuelle est la différence entre un 747 et une blondeLire et être curieux, c’est la même chose.Le coeur d’un père s’agranditLa morale est dans les faitsLe dernier jour d’école avant les PARTAGER