Evaluer cet article C’est toujours à une surprise que les successives avances allemandes furent dues. Journal, 10 mai 1918. André Gide A Lire AussiLe Soleil et les GrenouillesLa vie est une roseJ’ai failli écrire de faux «Mémoires» de LandruEt la mort ou l’exil ou lesQu’est-ce que la vitesseA Saint-Antoine grandeQui veut bonne melonnière, à la saint-Joseph doit laLes gens qu’on aime ne changent pas.Serrer trop fort le pressoir donne un vin quiOn ne bâtit pas un avenir sur des souvenirs et des sacrifices si beaux PARTAGER