Evaluer cet article Que l’oreille prenne goût à ces dissonances de même que, dans un autre domaine, l’oeil à des disharmonies picturales plus subtiles, il va sans dire… Journal 1889-1939, 28 février 1928. André Gide A Lire AussiL’imaginaire et le réel sont deux lieux de laSeul celui qui est heureux peutLa vie est courte, mais commeLe droit de se faireA Londres je connus BellaC’est un gars qui rentre du bistrot. Il trouve sa femme dans la chambre,Quelle sorte de monstres à visageLe malheur est à l’art ce queMême si le propos deCette minute entre l’enfance PARTAGER