Evaluer cet article Il se montre tel que je l’ai vu toujours, portant beau, soigneux de sa parole. Journal, avril 1906. André Gide A Lire AussiO les cavalesPour nous aimer des yeuxCelui-là est sans foi, qui n’est capable de rienOuvrez-moi, Sincero, de vos pensers la porteComment guérir la concupiscenceL’un soigne le cheval, l’autre le monte.Le monde flatteUn avorton se reconnaît facilement. C’est le seul qui donne de l’avoine à unLes tonneaux vides et les hommes inférieurs font toujours le Le Maître ne parlait pas des PARTAGER