Evaluer cet article Il est bon de suivre sa pente pourvu que ce soit en montant. Les Faux-Monnayeurs écrit en 1925. André Gide A Lire AussiL’homme qui thésauriseLe Pâtre de la nuitDis-moi qui tu tuesL’avenir appartient à ceux qui seS’il tonne en février – SorsUn bon chien ne mord pas lesL’intérêt que j’ai à croire uneLe Tour du monde en quatre-vingts jours Chapitre XXVIIIQuand un ministre s’exprime à la télé, on a toujours l’impression qu’il commence àOn ne parvient aux dignités que par mille PARTAGER