Evaluer cet article On voyait le sillage et nullement la barque – Parce que le bonheur avait passé par là. Une citation de Jules Supervielle A Lire AussiUn soldat doit être prêt à mourir pour sa patrie. Même On s’accommode de la haine, elle est un stimulantChoisie ou forcée, transitoire ou définitive, la solitude est de plus en plus préféréeConte d’amour IVWinston Churchill, histoire et biographie de ChurchillC’est le jeûne qui fait leCette vie de petite villeCe n’est que quand il fait nuit Un fou a jeté uneSoldat libre PARTAGER