Evaluer cet article C’est sans doute la vocation du romancier, devant cette grande page blanche de l’oubli, de faire ressurgir quelques mots à moitié effacés, comme ces icebergs perdus qui dérivent à la surface de l’océan. Une citation de Patrick Modiano A Lire AussiOn peut par la force ou la douceur faireEssai sur mon ami Georges AuriolA de PangeL’espoir c’est ce qui meurt en dernier.Quand tu chantes, tu dis: – Je chante dit le professeur à Toto et Dès qu’on l’envisage bienÀ la saint-Marcellin, sème du lin.La bonté des humains n’estLes guerres, ça finit toujours mal.Le vent de novembre arrache la dernière feuille. PARTAGER