Evaluer cet article Des airs d’acordéon, minces comme des fumées de cigarettes, s’échappent des portes . . . Une citation de Léon-Paul Fargue A Lire AussiDans la fissureOn a hâte de revoir Balladur faireL’apaisement réside enDieu a partagé, il a donnéCertes, je veux bien allerDe ce qui arrive au maître,Le propriétaire d’un parapluie va, au gré de son Il vaut mieux mourir dans les bras d’une fille qui vous connaît bienRosée du matin, tout va bien.Pour devenir le maître, il faut agir en PARTAGER