Evaluer cet article Si tu regardes ton nombril et que ton nombril est intéressant, alors tu atteindras l'universel. Henry Miller A Lire AussiLe ciel est bien cruel de faire les uns naîtreOn a peine à haïr ce qu’on aFin tantu ch’ellu si vive, Marche un mille pour visiter un malade;Deux pour réconcilier deux hommes;Trois Nourrir les filles, c’est engraisser des vaches dont on n’auraDans une discothèque, vers 3 heures du matin :L’homme : – Tu me rappelles laJamais, en juillet, sècheresse n’a causé la moindreLa crainte de l’adjectif est le commencement duLe critiqueur trouverait à redire même au paradis.L’injustice appelle l’injustice ; la violence engendre la PARTAGER