Evaluer cet article On ne put se défendre d’être fasciné par les arabesques, les trèfles de galon qui escaladaient son dolman et le casque étincelant emplumé de faisanneries. Le Hussard sur le toit (1951). Jean Giono A Lire AussiChapitre XVIIIPour la Sainte-Berthe, moisson ouverte.Que m’importent les controverses etLes miroirs sont des glacesLa beauté devient la pire imageEn cas de conteste, la victoire leA la Saint-Roland c’est duJe ne lis que mes bouquins. MaisAmoureusesJ’ai pleuré PARTAGER