Evaluer cet article La femme, ça a toujours un coin, où en appuyant, ça pleure. – Le chant du monde Jean Giono A Lire AussiL’Amour noirQuand un homme, enseignant ce qu’ilCelui qui veut nager dansComment appelle-t-on une petite culotte d’une blondePeu satisfait du train queL’Avare ACTE III Scène 7Quand la chance le désire, un homme estAu paresseux laboureur, les rats mangent le meilleur. Il n’y a pas de raison sans passion, et il ne devrait pas yLe génie chez les uns, c’est une intuition constante ; PARTAGER