Evaluer cet article Lorsqu’en juin on voit sa fin, Saint-Martial souvent lave le chemin. Un dicton météo A Lire AussiCertaines soifs sont préférables à toutes les ivresses.Je rêve, tant Paris m’est parfois un enfer,Bord des nuages se frangeant, grand vent frais L’ego est frustration, non d’un désir du sujet, mais d’unHeureux qui par l’instinctJe ne pense jamais au futur.De même que tout est mortel dans la natureA la sainte-Elisabeth, tout ce qui porte fourrure n’est pointAdam a peu souffert Les enfants heureux pleurent PARTAGER