Cultivons nous
Petits enfants venez à moi
S'écria-t-il
Mais on ne vit
Qu'une longue file
De géants
Qui se suivaient
Aveuglément
Lorsqu'il arriva
Que l'un d'eux trébuchât
C'en fut fini de la
Belle ordonnance
On ne vit plus qu'un tas
De chair qu'on arrosa
D'essence
Et le feu
A l'évidence
Fut assez vigoureux
Alors
D'une voix de stentor
Il s'époumona
Petits enfants venez à moi
Il en est encore temps
Mais il se retrouva
Seul au milieu du champ
© Jacques Herman – 2007
Le jeu doit valoir la chandelle.
Albert Lozeau, histoire et biographie de Lozeau
Personne n’est responsable de son destin.
Le surnaturel n’étant pas d’un usage pratique ni régulier, il est sage et- Je regrette l’époque où on n’était
C’est aujourd’hui jeûne, dit
Le droit, le devoir d’un homme
Heureux celui qui oublie ce
Quand je lève les yeux
A la Saint-Gérard, La